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Pas si simple la vie de "celibattante" !

1 août 2013

Je me félicite ...

M'ouaip', je crois que je peux ! 

J'ai retrouvé le bouton "on" de l'ordinateur ... Et le chemin pour revenir ici ! 

Plus qu'à trouver une heure ou deux et hop, on repart pour de nouvelles aventures (temps de trouvage d'heures libre non garanti) 

 

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17 juin 2011

To stay or not ?

L'autre jour, chez Big :

- "Tu restes dormir ?" 

L'est con ce cornichon, ou quoi ? Je réponds toujours nan lorsqu'il se tente à me poser la question !  

- "Euh ... Nan, plutôt pas ! Pi, ai pas envie de me lever à 06h môa" 

- "Bah, tu peux dormir un peu le matin, c'est pas gênant" (hum .. Là, j'ai pas tout compris, une semaine avant, fallait se lever en même temps ...) 

Hum ... Choix Cornélien ... Mais mais mais : 

- "NAN !!!!" 

Mais, bon, j'dois avoir des talents de masseuse insoupconnés paskeu :

- "Je lutte pour ne pas m'endormir, là"

-"Ouais, ben maintiens ta tête à moitié tordue, ça va t'aider luttes bien paskeu j'veux pas rester ici, môa !"

 

Sauf que ...

 

5 minutes plus tard ...

Il dormait comme un bienheureux, le cornichon !

Hum ...

En gros, ça a donné ça : 

munch 

 

Hum ... 

 Vite, vite, vite : faire du bruit, renverser les plantes (roooh, mince, y'en a po), danser la macarena, taper les portes, le pincer, lancer l'alarme incendie du bar trouver une stratégie ... Ne pas rester ici. Ben ouais :

 1 : T'as po sommeil,

 2 : T'as po filé à manger à tes chats, vont bouffer coloc',

 3 : C'est po dans le CONTRAT, bordel !

 

Tu déclares forfait une heure plus tard, après avoir fumé des clopes à n'en plus pouvoir, envoyé des sms S.O.S à toutes tes copines (qui forcément ne répondaient pas, paskeu, ELLES, elles dormaient bien tranquilles, dans leurs lits !) et, essayé de lire le seul magazine disponible dans la pièce (France Football, Yala ! ), tu te résignes ... 

 

Tu regardes le grand lit, avec le cornichon couché en travers dedans ... Et tu te dis que ... Ben, que tu t'es bien fait nické la tête es obligée de dormir là ... 

 

Tu te trouves une place ... T'escalades le cornichon pour éteindre la lumière ... Une fois ta mission accomplie avec brio, le dit cornichon se tourne et miracle, il semble être sorti de sa torpeur d'un coup d'un seul : "Oh, je crois que je me suis endormi, tu vas être obligée de rester là" ... 

 

Grrrr ...

 Le sommeil finit par arriver ... 

 Quand ... Oh bordel, juste une heure après, un truc te réveille ... 

 

 Un truc flippant ...

 

 Un truc du genre : 

  

 

M'ouaip' ... 

Là, l'instant de quelques minutes insupportables, t'hésites à le bouger mais : 

1) Si tu le tournes à droite, il tombe par terre, 

2) Si tu le tournes à gauche, c'est sur toi qu'il "tombe" ...

Et, c'est à cet instant que se pose un problème majeur : Big, il dort à côté de toi ... Pas avec toi ^^ C'est subtil, mais ça compte ...

Tu regardes la chose ronfler ... 

S'vachement moins excitant un cornichon, quand ça ronfle à t'en décoller les tympans. 

Alors, comme t'as que ça à faire y'a trop de décibels pour repartir dans les bras de Morphée, tu le regarde ... Tu regardes ce cornichon avec qui tu partage une alchimie physique relativement bluffante depuis des années ... Et tu cherches ... 

M'ouaip' ... 

Tu cherches un truc attendrissant chez lui ... 

Lorsqu'il se retourne enfin sur le côté, arrête d'imiter le porcinet, et enlace son coussin avec force, tu te rendors aussi tôt ... Sans avoir trouvé le dit truc ... 

Une heure plus tard, lorsque son réveil sonne et qu'il sort enfin du lit, tu te dis que ça y est, tu peux dormir tranquille ... L'inconnu-connu quitte le navire et tu te sens beaucoup plus sereine ...

 

Alors, si j'ai toujours refusé de dormir avec Big, c'est parce-que je sais très bien que tout se déroulerait de la sorte ...

Avec Big, on a ce point commun d'être moitié apprivoisables ... Mais moitié à majorité "sauvages" ... Comme si la tendresse le laisser-aller en dehors de l'acte charnel pouvait nous être dangereux ...

Alors, j'm'interroge sur son insistante insistance à vouloir me faire rester ...

 

Est-ce intéressant de dormir "à côté" et non pas "avec" ?

Est-ce intéressant d'avoir l'impression d'être à côté d'un(e) inconnu(e) ?

Y'aurait-il un extrême danger à continuer à faire exister l'autre après l'union si parfaite de deux corps ?

J'veux dire, Big et moi, on s'connaît quand même, on sait qu'on ne s'amourachera pas l'un de l'autre ... Alors, en quoi cela peut-il bien être dangereux de dormir "avec" ?

 

Ou alors, peut-être va t-il falloir que je m'apprenne à lui apprendre que cela n'a rien de préjudiciable ?   

14 juin 2011

Simplement fabuleux ...

On pourrait s'accorder à dire que cela fait quelques décennies années que je m'interroge sur cette chose bizarre, difficilement définissable qu'est le couple ...

Ce dernier est peut-être même bien l'essence même de ce blog ...

Et, v'là, qu'au hasard d'une navigation internetelospaciale, je découvre celui qui exprime si bien ce que j'en pense, qui exprime des interrogations similaires aux miennes (et à bon nombre d'entre nous, j'en suis certaine) ...

A écouter, et voir car beaucoup de détails expressionnels sont importants et exquis ...

 

 

 

 

 

 



1 janvier 2011

Mister Big ...

J'tai jamais parlé des hommes qui ont partagé ma vie ...

'Fin, ceux qui ont compté ...

Si j'veux continuer ce post, va falloir que j't'éclaire un peu sur le sujet, sinon, tu ne vas rien comprendre ...

Y'a eu "l'homme des montagnes" : flirt d'adolescence, celui avec lequel tu découvres les papillons dans le ventre et l'admiration de celui qui les provoque ...

Après, y'a eu ... Hum ... On va l'appeler "Sosie" car, finalement, des années plus tard, tu te rends compte qu'il ressemblait beaucoup à "l'homme des montagnes" ... Toujours flirt d'adolescence mais ... Le premier qui voulait faire quelque chose avec toi... Ben, déjà, à 16 ans, tu te dis que tu devais être passablement conne insouciante et t'as carrément fui ...

Vint ensuite "Meilleur ami" ... Ouais, t'attends d'avoir passé la vingtaine pour tenter et ... T'apercevoir qu'entretenir une relation amoureuse avec ton meilleur pote ne rend pas forcément la relation meilleure, bien au contraire ... 3 ans pour t'en rendre compte ... Et crois moi, parfois, 3 ans, c'est long ^^

Pi, "Un an" ... Ben, voilà, tout est dit ...

Un ch'tit peu avant la fin avec "un an", j'ai rencontré "Destructeur". Ah, celui-là, on pourrait écrire des pages et des pages ... Son pseudo lui va bien. Il ravage tout sur son passage Une relation où tu découvres que la passion ... C'est bien ... Chez les autres, surtout ...

Le hic, c'est que "Destructeur" m'a un peu beaucoup perturbé ...

Que j'ai un peu fait n'importe quoi durant les 3 ans et demi qui ont suivi la fin de c'te histoire ... Bon, faut pas tout voir en noir, ai un peu profité de ce temps là pour vivre tout ce que je ne m'étais pas autorisé durant mon adolescence (là, y'a  eu "24h chrono", "Surfe sur la vague", "Inconnu", "Policeman", pour les plus drôles) ... Et aussi, pour tripler ma carapace ^^

Pi, un jour, y'a "6 mois" qui est arrivé ... Tu crois qu't'es prête .. Mais, mais, mais, visiblement, y'avait des trucs pas encore bien saisi des restes malsains qu'il restait de "Destructeur" ... Et "6 mois", en bon pharmacien qu'il est, pensait (et pense encore, j'en suis certaine) que les théories règlent l'existence de chacun. 1+1=2. Et on se fout des variables. La vie doit être réglée comme du papier à musique. Paskeu si tu sors des cases, tu prends des risques. Et le risque, pour le pharmacien, c'est dangereux ... Néanmoins, j'ai quand même découvert des trucs en moi que je pensais inexistants. Même si cela promettait une vie bien réglée et passablement ennuyeuse, le sentiment de sécurité et de tranquilité a été une grande découverte.

 

Mais ce que j't'ai pas dit, c'est que juste avant de rencontrer "Destructeur", j'ai croisé la route de Mister Big ...

Et ce que je n't'ai pas dit nan plus, c'est que, depuis, Mister Big n'a jamais vraiment disparu de ma vie ...

S'il porte ce pseudo, s'po pour rien, c'est paskeu Mister Big reste l'enigme masculine de ma vie.

Mister Big, s'po un amoureux ...

Mais, Mister Big n'est pas nan plus qu'un simple PQR (Plan Q Régulier pour les incultes ^^) ...

Mister Big, il a toujours été très clair : Plan Q et rien d'autre (autant te dire que j'ai quand même bien réfléchi avant d'accepter sa proposition ... M'ouais ... 2 ans que j'ai réfléchi ^^ Et 2 ans durant lesquels il n'a jamais été très loin ... Mister Big est tenace, je crois ^^) ...

Mister Big m'a fait découvrir pleins de trucs nan, pas culturels, nan et autant te dire qu'après le passage de Destructeur, ça po dû être super simple ...

Mais il va sans dire que lorsqu'il n'y a pas la pression de devoir plaire à l'autre à chaque minute de la journée, de devoir affronter la vie en commun et certaines banalités du quotidien, c'est quand même beaucoup plus simple. 'Fin, en tous les cas, pour moi, ça l'est. Du coup, c'est même lui qui est un peu après moi, toujours à me rappeler son existence. Faut dire que Mister Big en bon cornichon qu'il est a besoin d'être rassuré. Et Mister Big se rassure autant qu'il le peut avec toutes les femmes de sa vie. Paskeu, j't'ai po dit nan plus mais Mister Big est un roi du cunni tombeur ... J'sais po comment il fait pour trouver toujours de nouvelles femmes qu'il n'a encore jamais attrapé, ce cornichon.

Et, pourtant, Mister Big est fleur bleue ... Mister Big se fait trop niquer la tête avoir par les femmes qu'il choisi pour partager sa vie ... Mister Big est attentionné avec elles, il en oublie son fort caractère (Bon, ok, l'oublie jamais ses maîtresses, ça doit po aider ^^) ... Du coup ... Mister Big est un peu extrêmiste dans sa vision de la vie à deux ... Et d'une relation amoureuse, quelle qu'elle soit ... Se rassure comme il le peut avec ses multiples maîtresses ses discours un peu chaotiques sur la non possibilité d'entretenir, pour lui, une relation durable et harmonieuse.

Et, Mister Big, dans tous les moments confus de ta vie est quand même là ...

Il aime bien être écouté ... Mais il sait aussi entendre ... Il est là : quand t'as 15 kg en trop, te disant que t'es super excitante, quand "Destructeur" te met la tête à l'envers pi, après, lorsqu'il a tout détruit ; quand ton père symbolique disparaît et que tu crois que ton monde s'écroule ; quand tu en chies au taff avec les pervers qui te dirigent ; quand t'as perdu les 15 kg en trop, te disant que t'es encore super excitante ; quand tu rencontres "6 mois" et émet quelques doutes sur l'entente sexuelle possible ; après "6 mois" lorsque tu as des difficultés à comprendre ...

Tenace jusqu'au bout des ongles, il te sollicite ...

Tenace jusqu'au bout des ongles, il fait mine de croire tous les bobards que tu peux lui raconter paskeu, toi, t'es pas encore prête à t'envoyer en l'air et à partager ton corps encore tout empreint des traces du petit garçon se cachant derrière l'image d'homme responsable à la bonne situation famililale et professionnelle ...

Il attend ...

Il pète un peu les plombs, parfois ... Disant que tu le mènes en bateau ... Oui, paskeu Mister Big a un avantage : Il ne mâche pas ses mots parle ... L'a, parfois, des réflexions simples mais ayant le mérite d'être honnêtes et sans chichis : "Ah ben, ça c'est sûr, il ne pouvait rien t'arriver avec lui" m'a t-il rétorqué lorsque je lui parlais de mon sentiment de sécurité ressenti avec "6 mois" ... "Nan, rien ... A part l'ennui, peut-être" ...

Mais, il revient ...

Même s'il marque un peu le coup, parfois ... Il t'en fais aussi voir un peu ... Manière de te faire comprendre qu'un claquement de doigts ne suffit pas à le faire arriver ... 

 

Alors, pourquoi j'te parle de Mister Big ?

Ben, paskeu, plus les années passent, plus je m'aperçois que c'est bien la seule et unique relation saine de ma vie ... La plus claire ... Celui qui ne connaît rien de mes goûts musicaux ou cinématographiques, encore moins littéraires, celui qui ne viendra pas me voir jouer au théâtre, celui qui ne m'a jamais trop vue en dehors des moments préparés à nos "entretiens" ... Celui qui, pourtant me connait très bien ... Celui avec qui je peux vraiment parler, de tout ; celui qui n'acquiescera pas pour me faire plaisir, celui qui me propose de m'entraîner sur lui pour parler à un homme, le seul qui juste en me regardant crée un véritable chamboulement hormonal ... Celui qui me prend comme je suis (peut-être justement parce-qu'il ne s'agit que de moments limités) ... Celui qui me respecte ... 

Mais aussi, celui dont, malgré tout ça, je n'ai jamais été amoureuse.

Peut-être parce-que tout était clair dès le départ, d'un côté comme de l'autre ...

Peut-être parce-que ce serait trop simple ...

Pas simple quand même, les relations homme-femme ...

 

 

 

31 décembre 2010

Célib'habitudes ?

Toi aussi, suis sûre voire quasi certaine qu'après une séparation et toute la liste de mariage qui va avec : crachage sur ton DVD de Pretty Woman, criage à l'injustice internationalo-mondialissime qui s'abat contre toi, changer la sonnerie de ton portable et sourire sournoisement lorsque ce dernier sonne, volume 4, sur Anaïs : "Je haaaaaiiiiis les couples qui me rappelent que je suis seule, je déteeeesssste les couples, je les hais tout court ... Mon coeur, mon amoooour ..." en voyant les gens te dévisager, comme si c'tait un crime de détessster les couples, pleurer plus que de raison et tout le tralala ..., tu as aussi pensé que tu pouvais de nouveau vivre cette expérience unique qu'est la relation amoureuse ...

Mais si, avoues !

Tu y a pensé ...

Rêvé ...

Te disant que tu ne referais pas les mêmes conneries qui t'ont menées à la liste (non exhaustive) citée plus haut ...

Une fois un peu remise de tes émotions l'été arrivant et aidant considérablement tes hormones, tu regardes un peu c'qui s'passe autour de toi ... N'en a pleins des cornichons

Bon, faut faire le tri ... Tes hormones parlent parfois trop vite ...

Tri sélectif effectué, t'en trouves en fait ...

Le hic, c'est que ouais, on va encore dire que les gonzesses sont compliquées : le cornichon est, par définition ... Hum ... Envahissant ... Surtout lorsque tu recommences à les choisir loin de ton lieu d'habitation ... Le cornichon est là lorsque tu te tournes vers la droite, pi vers la gauche (le cornichon est rapide), lorsque tu prends ta douche, t'habilles, manges, va faire 3 courses, écoutes de la musique, regardes un film, te tournes dans ton lit (y'a aussi le cornichon possédant l'option ronflements à tendance déflagration te faisant définitivement regretter de partager ton lit), te réveilles et donc quand tu as la tête défoncée du matin avant café ... Et bis répétita pour la journée suivante ... Jusqu'au moment où tu retrouves ton chez toi empli d'hormones mâles ...

T'y as perdu tout tes repères, ma fille ^^

Tes HaBiTuDeS, boooordel !

Le cornichon bouscule toutes tes habitudes de vieille ?  fille célibataire ...

Il te fait te souvenir qu'il faut être aimable le matin, ne pas faire l'autiste sur Facebook et sur toutes les autres pages sur lesquelles tu as l'habitude de traîner dès le réveil le temps que ton premier café fasse effet, sourire alors que t'as pas encore fait ton brushing et que tu sais que tu ressembles à Shrek, que tu ne dois pas faire de calins à ton chat avant de lui en avoir fait un à lui (et pourquoi, d'abord ?) ...

M'ouais ...

Il te fait te souvenir que tu n'es pas toute seule là, tout de suite et maintenant ...

M'ouais ...

Le hic ... C'est que, toi, t'as perdu c'te sale habitude de sourire niaisement alors que tu n'en as pas forcément envie ... Mais, plus profondément, tu réalises que, t'as beau en avoir rêvé (ou tout du moins pensé), t'es pas super super prête à lâcher prise et à te laisser faire comme ça, si rapidement. Que lâcher tes habitudes, ce serait un peu enlever de ta protection (ouais, j'me rappelle avoir dit dans un post plus bas que la surprotection c'était nul ^^ Mais que veux-tu, ça revient sans qu'on y soit préparé ce truc là).

Les cornichons sont, parfois, trop rapides ...

J'aime po la vitesse, j'm'en méfie comme de la peste ... (même si je sais que lorsque je sentirais la relation véritablement viable, je vais foncer comme une championne de Formule 1 ^^)

Et pi, être avec un cornichon signifie t-il obligatoirement de tout faire à deux ? D'oublier son indépendance (elle me perdra c'te pétasse) ?

L'est où le juste milieu, bordel ? Entre ce statut de femme indépendante qui s'assume et celui de celle qui a aussi besoin de partager sa vie ?

 

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21 avril 2010

Derrière toi ...

C'est beau un homme de dos, qui attend une femme.

C'est fier comme un héros qui, ayant tout donné, n'attend qu'un seul geste pour se retourner

28 mars 2010

New birth and happy face ...

T'as remarqué toi aussi le paradoxe l'être humain femelle qui s'extasie devant une chanson dite d'amour triste à en pleurer : OoOoOoOoHhHhHh, elle est trop belle c'te chanson !!!!! Qu'est-ce que je pleure en l'écoutant ! Ca me rappelle trop mon histoire avec Jeannot Lapin, qu'est-ce qu'on était heureux ... Et tout le bla bla qui va avec  

femme_pleurant

Hum ...

Quand t'y réfléchis un peu, tu es en droit de te demander : mais où t'as vu une quelconque beauté toi ?

Nan, c'est vrai quoi ... Toutes ces histoires de je t'aime moi non plus, je t'aime alors je te quitte parce-que justement je t'aime trop ou encore tu es mon seul amuuuur mais le bonheur c'est trop bien, chantées avec la mine déconfite d'un être en souffrance, sur une mélodie mélancolique et pleurante ...

Comment peut-on se rappeler avoir été heureux en écoutant des trucs pareils ? Comment se dire que ces textes peuvent piocher leurs inspirations dans le réel ? Pourquoi une chanson d'amour ne serait pas, simplement, une histoire heureuse ? (ben paskeu ça vend pas sinon ma p'tite dame) Comment peut-on se résoudre à associer le fait d'être heureux à la souffrance inéluctable ?

Serait-on programmé, culturellement et/ou transgénérationellement, à faire de la vie une souffrance ? A ne pas savoir reconnaître et apprécier les moments heureux ? Et par là même, serait-on incapable de concevoir le déroulement de notre vie amoureuse, ou plus particulièrement de l'histoire d'amour que l'on vit, autrement qu'avec une issue malheureuse, comme fixée d'avance par le "destin" et donc dans laquelle nous ne pourrions rien faire ?

Chacun sa définition du bonheur, chacun son histoire de vie qui influe dans chaque schéma mis en place et reproduit mais ... N'y a t-il pas une histoire de protection personnelle sous jacente ?

J'veux dire ... Regardes les nains ... Ils n'ont peur de rien ... Ils font les quatre cents coups ... Tombent ... Et recommencent, bordel ! Plus ils grandissent, plus la notion de danger devient présente, et l'anticipation de ce dernier avec ... Ben, le parallèle reste possible avec les adultes et leurs histoires d'amuuuur ... Au début, t'as encore l'insouciance de la nouveauté ... Au troisième gadin, tu commences à te méfier sérieux du prochain qui va avoir le courage de t'approcher (note que lui pour le coup aura conservé quasi toute son insouciance ^^) ... Et là, ça s'enchaîne ... Plus tu grandis, plus tu anticipes ... Dans tous les domaines ... Je te rassure ami Marsien, c'est encore pire quand t'es née sur Vénus paskeu t'as toutes tes discussions de filles et les conseils qui vont avec : "ah ouais, méfies toi, s'il te dit que tu lui plaît au premier rendez-vous, c'est pas normal, il doit avoir une tare cachée", "comment ça il veut déjà que vous améniagiez ensemble ? L'est pas fou lui, ça ne fait que 6 mois que vous êtes ensemble, c'est beaucoup trop tôt ! " ... Et tout le bla bla qui va avec ... 

Peut-être parce-que plus tu grandis plus le cogito de merde fonctionne ... D'où les anticipations ... D'où les évitements de prise de risque ... D'où les non acceptations d'émotions ...

Du coup ... T'as peur ... De pas mal de trucs ... Et notamment de ce que tu désires ... Te voilà transformée en peur au ventre sur pattes ...

Ce qui pourrait donner un truc du genre :

Du coup, après ce que tu as d'abord qualifié de gadin afin de te rendre compte que c'était un tremplin, tu as encore pensé que tu n'étais bonne à rien et que le bonheur n'était pas fait pour toi ... Puisque justement il était à portée de tes doigts et qu'il s'est échappé ... Tu as crié à l'injustice, ragé contre la lâcheté des hommes et craché sur ton dvd de Pretty Woman ...

Puis ...

Calimero l'est bien gentil avec sa coquille sur la tête et ses c'est trop injuste mais c'est pas pour autant qu'il nous aide à avancer... Nan, pour ce faire, le mode Calimero doit se décliner en mode prise de conscience ... Comment ça j'ai aussi une part de responsabilité vers mon chemin du bonheur ? (Ben nan ma grande, ça n'arrive pas tout seul) ... Comment ça les gens ils ne devinent pas ce que je pense ? Je suis obligée de m'exprimer pour ça ? Pourtant dans les films ben les messieurs eh ben ils devinent ce que les dames souhaitent, ça paraît limpide ; ou alors y'a toujours un truc qui fait qu'ils se comprennent ... (ben ouais, mais ça, suis au regret de t'annoncer que dans la vraie vie, ça n'existe po ^^).

Suffit juste de dire alors ?

(oui ... nan ... petit bémol ... faut savoir ce que tu veux avant de dire hein sinon ça ne compte pas)

Le mode prise de conscience implique que tu saches donc ce que tu veux, à plus ou moins long terme ... Pour ça, faut déjà que tu t'autorises à le penser ... Puis à le dire ... Et, surtout, le vivre ...  

Paskeu le bonheur (enfin, le tien) s'est pas échappé tout seul ... Tu l'as un peu aidé quand même ...

Trop de raisonnable, pas assez d'émotionnable ... T'as vu où toi que c'était grave d'avoir des évidences et de l'assumer aux yeux de tous ? Si t'es heureuse, pourquoi t'oses pas le montrer ? Si tu veux des enfants, pourquoi t'oses pas le dire ? Si tu t'y vois bien dans sa baraque immense, pourquoi tu dis que tu ne veux pas choisir la salle de bain ?

Et vivre, c'est oser semble t-il ... C'est aller dehors voir ce qu'il se passe ... Et peut-être arrêter de se surprotéger ... Sous prétexte de protection rapprochée envers soi-même, on élève les barrières ... Et on s'aperçoit qu'on se bouffe la vie avec des combats professionnels qui nous essouflent ou encore qu'on se cache derrière des horaires décalés pour ne pas vivre les mêmes choses qu'un salarié lamba aux horaires dits "normaux" (mais finalement tout ça, c'est peut-être juste une façon de stagner) ... C'est sortir de son quotidien tranquille, prendre des risques ... C'est aussi prendre conscience de ce que l'on a ... Et apprécier tout ça, au lieu de ne pas en avoir conscience et donc de toujours anticiper sur l'avenir en espérant avoir mieux (faut que tu m'expliques comment tu voudrais avoir mieux si tu n'as pas connaissance de ce que tu as) ... Peut-être que mesurer ce que l'on a, c'est aussi se poser, arrêter de repenser sa vie avec des "si" ... Peut-être que c'est être , vivant, estimant la valeur de l'instant que l'on est en train de vivre ... Pour de vrai ... Avec toutes les émotions te percutant ... C'est aller jusqu'au bout des choses (paskeu pauvre petite princesse que tu es, tu t'es toujours demandé pourquoi le prince n'était jamais venu te re chercher ... Mais t'aurais pu y aller aussi hein) ... Se donner les moyens de quoi ^^

Une fois cette lourde tâche accomplie, t'as appris un truc : le vieil adage de "vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets" n'est pas faux. Faut s'lancer dans la vie paskeu ... Ben paskeu personne va le faire à ta place ... Et qu'en plus, quitte à avoir la peur au ventre, autant l'avoir pour une raison qui te tient ... à coeur justement ... Et que si tu ne dis pas aux gens que tu les aimes, ben peuvent pas le savoir hein ^^ 

Et c'est aussi lorsqu'en deux jours où elle ne parvient pas à te joindre, en te laissant des messages qui vont crescendo,ta mère fini par t'envoyer "mais t'es où bordel ??" que tu te dis que tu y es ...

"Ben suis là où on ne m'attendait pas (et moi nan plus du reste), et ça m'plaît bien" ...

Et pi le monde, il est beaucoup plus joli depuis que j'le vois en mode happy face ^^

 

En plus, c'est contagieux ...

(regardes au moins jusqu'à la dame en rose, c'est que du bonheur ...)

 

   

      

 

 

 

16 mars 2010

Sometimes ...

Parce-que, parfois, on ne s'explique pas ce qu'il se passe ...

Parce-que, l'espace d'un instant, plus ou moins long, on est là, ici, vivant vraiment le moment présent avec ces putains d'émotions qui nous traversent de leurs violentes douceurs ...

Parce-que le temps passe ... Rapidement quelquefois ...

Parce-que le cogito se remet en marche ...

Trop de questions ...

Plus assez d'acceptations d'émotions ...

Trop vite ... 

Lui ...

Pourquoi ne m'a t-il pas rattrapé ? 

Et moi ? 

Pourquoi l'ai-je laissé filer ? Pourquoi ne me suis-je pas autorisé à tenter de foncer vers ce que je pense être la seule évidence de ma vie ? 

 

 

 

La vie ne se déroule pas comme dans un  film ... Y'a pas le mode rewind ... Personne ne court après personne à la fin ... 

S'qu'on est idiots parfois ... 

 

15 mars 2010

Shopping ...

Assez de ne plus rien avoir à te mettre sur ton corps de déesse dessus ...

Aujourd'hui sera le jour où tu décides de faire flamber ta carte bleue et dépenser tout l'argent qu'il n'y a pas sur ton compte

Te voilà lâchée en mode shopping toute excitée de pouvoir te relooker ... Maintenant que tu peux aussi ajouter les boutiques pour anorexiques à ta liste, c'est sûr, tu vas revenir avec tout pleins de p'tits sacs remplis telle la Pretty Woman qui sommeille en toi ... 

Sauf que ...

It's the same one each time ...

C'est toujours lorsque tu as vraiment besoin de fringues et décidé de t'assoir sur tes agios que tu ne trouves rien ... Le jour où tu sais que c'est mathématiquement impossible, c'est certain tu en trouves pleins de fringues mais tu rentres frustrée chez toi en rêvant à ces bottes, jean's et autres petits tops faits pour toi tu en es convaincue !

Hum ...

C'est un peu pareil pour les rencontres amoureuses, nan ??????

 

14 mars 2010

En couple ...

T'as remarqué toi aussi comme y'a des expressions casse couilles implantées dans le langage courant et qui ne veulent pas dire grand chose ?

Déjà, tu commences par tomber amoureuse (bon, ok, tu chutes aussi un peu dans cette étape mais bon on n'est pas obligé de tomber à chaque fois qu'on est amoureux ... Si ?) ... Tu tombes à nouveau lorsque tu as un tétard en transformation dans ton utérus ... Bref ... 

Perso, il m'arrive d'être en voiture, en déplacement, en formation, en reflexion, en vacances ... Mais ... Doit-on pour autant être en couple ?

Lorsque les questions fusent, on te demande souvent : "Tu es en couple ou célibataire ?"

Hum ... : "Ben ché po trop, j'essaie déjà d'être moi quelque soit la situation et crois moi c'est déjà assez compliqué comme ça"

Et là, on te rétorque : "Ouais bon ok, mais sinon t'es en couple ou t'es seule ?"

Aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh, on y est ... De célibataire tu passes à seul en deux secondes top chrono ...

Donc, j'me demande : le fait d'être "en couple" induirait-il de ne pas être seul ? Oui, dans les termes. Mais dans la réalité ?

Combien de couples unissent des gens qui, au fond, se sentent seuls tout aussi accompagnés dans leur quotidien qu'ils soient ? Combien de ces unités de couple restent par habitude et/ou par crainte de ne plus avoir à leurs côtés la présence de l'autre qu'ils croient nécessaire au bon déroulé de leur quotidien ?

Lorsque j'écoute les filles gens autour de moi y'a toujours ce satané couple qui revient ... Un baiser et hop : "suis en couple" ...

Hum ... Un couple est-il si rapidement ?

 

Du coup, j'me dis que si, comme dit plus haut, je peux aisément être en voiture, en déplacement, en formation, en réflexion ou en congés ... J'suis moins aisément en couple ... Nan ... J'essaie juste d'être avec mon amoureux ...

Ché po pourquoi mais chez moi, ça sonne pas pareil ...

Et en plus ... On ne peut pas dire que ça fonctionne mieux ...

12 mars 2010

One ... Two ... Three ... Ready ?

Bon ... Ok ... 2010 a choisi de plutôt t'en faire voir dans tous les sens et dès les premiers jours ...

Et toi ... Comme c'te année t'es plus à un homme truc près ... Ben t'as pris une grande décision ce soir ...

Ouaip' ...

Juste après en avoir vu de toutes les couleurs avec le pervers qui te sers de directeur ...

Ouaip' ...

T'as décidé de ressortir tes C.V qui dorment depuis 6 ans et de t'en servir donc oui, cela implique que tu les plies soigneusement pour les glisser tout aussi soigneusement dans une jolie enveloppe et que tu les envoies là où tu penses que tu ne seras pas pas tout de suite du moins cataloguée et/ou étiquettée mais surtout respectée et payée à la juste valeur de ton diplôme !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ouaip' ...

Il y a des temps pour tout ...

Est venu celui de chasser tout ce qu'il y a de néfaste et qui te fait marcher au chantage ...

Peut-être que, parfois, l'important n'est plus de choisir ses combats mais d'accepter de les perdre ... 


Mémo : acheter de l'encre pour l'imprimante donc, elle risque de chauffer ^^

29 janvier 2010

L'art et la manière ...

La lumière d'un flash sur les ondes,

La jolie rencontre,

L'évidence ... Pure et dure,

Mais la trouille bleue de s'y retenter,

Mes sempiternelles interrogations sur l'amour,

Cette peur de tout foutre en l'air sur un air de C'est trop bien, trop joli ce qu'il m'arrive,

Essayer quand même,

Vivre les instants ici et maintenant,

La difficulté à comprendre les silences de l'autre mais le prendre "tel qu'il est" parce-qu'après tout les gens ont droit d'être ce qu'ils sont,

Toujours la trouille bleue, l'interdiction de s'autoriser le joli ... et l'évidence,

Difficulté de se projeter (dans le sens littéral du terme : lancer en avant) : "Ah bon ? J'ai droit de vivre ça aussi ? Y'a quelqu'un qui veut le vivre avec moi ?? S'po normal ça, ça doit cacher un truc",

Mais dans mes rêves les plus fous, j'm'y sentais plutôt bien dans les projets proposés,

Impossible de le verbaliser ... "Si j'le dis, ça va po marcher" ...

Ne rien dire non plus donc,

Laisser faire :"il doit bien le voir, le sentir, il doit bien savoir comment je fonctionne",

Puis l'énervement,

Le sentiment d'incompréhension puis celui d'insatisfaction,

Le malentendu dans les malentendus,

Les interrogations incessantes sur la vie de couple,

Sur l'amour,

Sur lui,

Sur moi,

Toujours c'te peur de tout foutre en l'air,

L'éloignement ressenti,

L'intuition,

Le doute,

La stupeur,

Le sentiment de trahison,

L'espoir de comprendre, de le comprendre, d'être comprise,

La brutalité,

La rapidité,

Ce sentiment d'avoir failli à un moment donné et d'avoir tout foutu en l'air,

L'impossibilité, l'interdiction, de mettre tout à plat et de pouvoir essayer d'arranger les choses,

L'impuissance,

PATATRA ...

Puis le soulagement,

La sensation d'avoir fait ce qu'il y avait à faire,

Mais le soulagement ne dure pas,

Car mon masque n'est toujours pas tombé,

J'ai encore fait la forte, la solide, celle qui peut tout encaisser,

La douleur,

La consternation,

Les larmes incontrôlables qui ne veulent pas me fichent la paix, où que je me trouve,

L'esprit obnibulé par les mêmes pensées,

Encore tout foutu en l'air,

Puis, le manque ...

De sa tendresse,

De ce qu'il me proposait dans l'absolu,

De sa présence,

De son odeur,

De lui ...

Mais ... Sa tendresse qu'il donnait sans compter, sans réfléchir ... Peut-être la seule chose hors contrôle en lui ... Ce qu'il y avait de plus vrai et sain me manque terriblement,

Ses bras m'entourant et m'enveloppant,

Cet endroit où, malgré les non dits et les malentendus, je pouvais fermer les yeux, me laisser aller ... Et me sentir en sécurité ... Pour la première fois de ma vie ... 

Encore tout foutu en l'air ...

Rayée de la liste, impression de n'avoir jamais existée,

L'absence,

Le silence,

La culpabilité ... incessante ...

Une histoire de fond et de forme tout ça, 

On aurait pu essayer, merde !

Maintenant qu'on savait, on aurait pu y arriver ...

 

 

11 janvier 2010

Congratulations ^^

En bas de mon immeuble, un soir d'Août dernier, mon p'tit voisin au sourire enchanteur croise mon chemin. Passées les civilités d'usage et en bon célibattants que nous sommes tous les deux le sujet principal s'engage comme un passage obligé : Alors, comment vont les AMOURS ???? (question essentielle apparemment lorsqu'on est célibataire)

Toi, tu viens justement de rencontrer non, pas un PQR quelqu'un ... Alors, regard baissé comme un nain ayant fait une chtite bêtise, tu lui dis. Et c'est là que ce mot sort de sa bouche : Félicitations !

Et toi un peu conne sur l'instant il est vrai tu réponds : euh, ben merci.

Une fois regagné ton appartement, tu ressembles plutôt à ça

                               domenech_pensif_diaporama

... Hum ... Reste 4 min de jeu, vais faire sortir Thierry Henri, faudrait pas qu'il mette un but, on pourrait gagner ...

Oui, tel un Domenech en pleine réflexion constructive, tu t'interroges à ton tour : mon Bac c'était y'a longtemps, mon permis aussi, ai pas encore mon poste E.S, me suis pas mariée (quoique) ... Alors, pourquoi on me félicite ?

Ben parce-que t'as rencontré quelqu'un patate !

Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh ok !

Waouh ^^

Pour autant, à part à tes vraies copines, c'est pas un truc que tu cries sur les toits ...

Quelques mois plus tard ... Le chéri est toujours là ...

Re waouh ... C'est là qu'il faudrait dire félicitations ^^

Il rejoint un peu malgré lui l'ère Facebookienne ... Là ... Dilemme ... Faut changer ta "situation" ... Ce qui, finalement, n'est pas si difficile ... Allez hop, me v'là "en couple avec ..."

Ce n'est que le lendemain matin lorsque tu rallumes ton ordi, et au vu de ton mur criblé de félicitations en tous genres, que tu réalises que tu t'es peut-être mariée dans la nuit sans le savoir ...

Hum ...

Waouh, suis trop fortiche môa, j'fais des trucs de ouf !

singe_pensif    

Félicitations alors !

 

22 octobre 2009

Les hommes sont des cornichons ...

T'sais parfois t'as des phrases toutes faites qui arrivent jusqu'à toi ...

M'ouaip' ...

Elles ne veulent pas toujours dire grand chose mais elles sont là ...

Elles ne reflètent pas forcément une vérité ni ne t'aident en quoi que ce soit dans ta réflexion ... Elles tournent et virent dans ta tête comme les serviettes de Patrick Sébastien dont tu ne parviens à te défaire que 3 jours plus tard en priant pour que personne ne te la refredonne avant 3 bonnes années en s'imposant à toi comme une évidence ...

Ouaip' ...

Aujourd'hui, c'est : les hommes sont des cornichons ...

Reste à expliquer pourquoi il m'est venu tout droit de nulle part que les hommes pourraient bien être des cornichons ... C'est assez laid un cornichon à la base ...

cornichon

Ca fait un peu genre fripé d'avoir trop trempé dans son jus comme lorsque tu essaies vainement de mentir en cachant tes p'tites mains :"Euh,nan, me suis po endormi dans mon bain, j'vois po du tout ce qui peut te faire penser ça", c'est toujours accompagné de trucs hyper gras ... Mais mais mais, c'est qu'le cornichon surprend là où on ne s'y attend pas ... L'est po si mou que ça finalement (bon, évidemment, vaut mieux que t'en croques des pas trop vieux). Il est même surprenant avec son côté croquant, voire craquant sous son aspect tout chiffoné. Finalement l'est ferme à l'intérieur, il t'arrache la bouche saisit tes papilles de saveur ... Et donne du goût à ta dégustation du moment ...

Remarque, c'est d'jà po mal, j'aurais pu penser que les hommes sont tous des gros nazes ... Ou encore faire un peu de littérature en reprenant : "Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels" ...

Oui mais si j'avais dit ça, j'aurais été obligé de dire la suite : "Toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées" ...

M'oui ...

Alors, nan ... Je persiste : les hommes sont des cornichons ...

Paskeu, finalement, j'les aime moi les cornichons ... Plutôt beaucoup même ...

Même s'ils ne se rendent pas compte les cornichons qu'ils sont si forts en goût qu'ils peuvent m'en faire ressentir des sensations et servir d'excuses bidons à mon ventre pour me faire regretter d'avoir été si faible face à la tentation jusqu'à titiller mes glandes lacrymales ...

   

6 juillet 2009

Mari ... âge ? ...

Ah l'été ...

Le soleil ... 

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le calme de la plage ... 

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le bronzage revigorant pour le moral ...

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les beaux torses dénudés de ces messieurs

BRAD_2_1 Comment ça sont pas tous comme ça ?

Avec l'été ne viennent pas seulement les vacances ...

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Nan ...

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Faut aussi que les gens se marient en se jurant tout un tas de conneries amuuuuur éternel et fidélité dans des églises où, ouf, fait pas trop chaud et te pompent tout ton fric pour partir en voyage de noces.

C'est sympa les mariages ... Sauf que ... Quand t'es célibataire, faut y aller seul et là, désolée cher lecteur, tu n'auras pas d'images ... "Seul à un mariage" ça n'existe pas sur Google ^^ Aller seul(e) à un mariage donc (bon, ça encore, ça passe, t'es habitué maintenant et puis c'est plutôt drôle) et affronter le regard de tous ces couples qui s'affichent heureux pour la bénédiction du jour ...  singes

Bon, toi, malgré le regard de compassion de quelques unes de tes copines qui ne supportent pas d'aller à ce genre de cérémonie d'amour toujours seule, tu t'en tapes un peu, t'aimes bien te démarquer, arriver limite en retard, rester au fond de l'église et regarder toute l'assemblée en tentant de t'imaginer la vie de tous ces gens qui ne sont pas venus seuls ...

Paskeu c'est vrai quoi, les mariages ça a un côté sympa ... Tu manges bien, tu bois bien et le lendemain, ça donne :  lendemains_de_cuite_b

Ouais ... C'est limite drôle le mariage des autres ...

Sauf ...

Sauf lorsque ta chtite cousine de 8 ans ta cadette t'annonce qu'elle va se marier ... Paskeu elle tu l'as vu naître tu lui as torché les fesses plus d'une fois, grandir et tout et tout ... Et que d'un coup, elle te rappelle que tu ne pourras pas arriver en retard ou rester au fond de l'église tu te marres bien avec ton célibat mais que le temps passe ...

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Pas si simple la vie de "celibattante" !
  • Séries et médias exploitent le célibat ... Plutôt Bridget à la recherche d'un mari mais essayant d'apprivoiser son célibat, plutôt Carrie Bradshaw en examinatrice des pratiques sexuelles de chacun et de ses répercussions sur notre vie quotidienne ...
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